Se tortiller. Premièrement.
Deuxièmement, ouvrir les yeux. Un
jour.
Poser ses pieds boueux et
troisièmement chuter tout de suite.
Rêves fous qui le dévorent. Pensées
insensées si denses, si présentes que Grégor Sousi comme transi de froid ne
bouge plus.
Immobile, il se retrouve les yeux
tournés vers l’intérieur où grouillent les peurs.
Près de lui, le lit où des écorces
épidermiques surgissent d’un côté du sommier. Nuit singulière où telle une mue,
comme sorti de son cocon, chenille, il se fige piégé de ses démons.
Sublime personne, qui devient
personne. Où est le cyclope ?
Quelles sont les zones du corps de
Grégor que le monstrueux insecte dévore ?
Everywhere.
Son corps est évincé.
Son corps se vide de ses viscères.
Ses membres se déchiquètent.
Ses yeux sortent par les orbites
rouges verts bleus.
Délire imminent.
Fin du processus du sens.
Réflexion sombre. Grégor Sisou plonge
sous la quintessence suprême du vide en l’occurrence irrésistiblement mortel.
FIN.
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