Le coureur
sur échasses pique là une pomme, là une pêche,
Il se régale
comme un enfant qui mange des fraises
Le soleil
poudroie d’or la poussière du chemin
La
sécheresse est à son comble, la vie semble avoir déserté la vallée roussie
On entend le
bruit des herbes sèches qui se frôlent
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