L’enfant neuf est à court de soupirs, fabriqués à
partir de 918 animaux, il sait respirer comme un chacal dans l’espace
désertique. Jeune garçon chagrin, il résonne de cris flamboyants quoique
aboyant. Il est sauvage et volatile dans la canopée. Il tire du sommeil les
oiseaux aux abords vieillards. Il a encore mille vies simplifiées par son
expérience de la nature grandissante. Il va par tous les chemins prendre souffle
des éléments : arbres cailloux, poivre meilleur. Il meurt dans un décor de
bocaux dans l’antre d’un sorcier.
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