Monsieur Fahrenheit à 100 à l’heure, qui fonce sur
la Lune.
Il gambade comme un animal qui brandit sa plume.
L’atmosphère est lourde, pesante c’est comme un
film noir qui a des bouffées délirantes.
La terre semble si pure du haut de cette lune.
Qui peut imaginer l’angoisse qui le hante et pour
se calmer, il suce des bonbons menthe.
Il vole, il saute entre les cratères de dunes comme
si sa vie ne valait pas plus qu’une plume.
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