Une lune blême lui fit mettre le premier poste de télévision
qu’Hector émotionnellement vit de ses yeux de petits. Eloignée, Bérénice mère
de lui, en profite pour être lue, dépourvu des sourires, des sorties du bistrot
pour le donner de l’œuvre rouge, du moins le jeudi, le bonheur d’écrire sur les
rares rêves plus rêveurs sous la lumière, les mots fous pleins de flots,
festifs d’évènements terrestres, s’irritent sur une lune comme sur une dune,
les doigts durent se promener sur des feuilles lisses, geste lourd d’encre vif,
une fois de plus, les devoirs où l’on est obligé, où meurt le temps.
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