mercredi 1 mars 2017

Rêve insensé

J’entre dans la maison un pas puis deux, je me méfie, je sens des regards, je suis prise dans un traquenard. J’avance doucement, par la fenêtre la blancheur de l’horizon n’a d’égal que la chaleur du soleil. Profondément presque instantanément, je rêvais de mon enfance sous mes yeux. Que me veulent ce satyre et cet émir ? Qu’attendent-ils de moi ? Flûte ! Zut ! Je n’entends plus rien. Caprice de génitrice peut-être. Elle traîne son miroir sur le trottoir, Elle cherche son reflet de jeunesse. Pour se consoler elle éteint la lumière en buvant une bonne bière.      

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire