Monsieur,
Souriez à la présente lettre qui veut vous libérer de mon humeur
naïve, mon ton léger, ma manie du chou. Vous ne verrez plus mon chien, ni mon
côté chienne. Oui, vous qui comprenez tout vite, vous lisez bien cette lettre
comme la dernière. Je vous quitte à vie, jeu vous vise les chevilles d’un
strike. Elles vous sont si chères et moi si peu.
Adieu
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